La direction régionale des Eaux et Forêts a mobilisé les populations locales pour restaurer la zone dégradée. Des plants ont été distribués, du matériel fourni et un appui financier octroyé afin d’assurer une surveillance durable du site.
« L’un des principaux objectifs est d’encourager les populations à la reforestation et à la préservation de notre riche patrimoine forestier », a expliqué le lieutenant Méa Koua, chargé de la gestion forestière.
Pour les habitants, cette initiative marque un tournant. « Notre forêt était sans surveillance. Aujourd’hui, elle est en sécurité », a affirmé Arnaud Yao, président du comité de gestion de la forêt classée.
Cette action s’inscrit dans la stratégie nationale visant à restructurer le couvert forestier ivoirien et à protéger les espaces à forte valeur écologique et culturelle.
MC/MPI